Diverses sortes de religions existent actuellement dans le monde et chacun est libre de choisir ce qui lui va le mieux. Mais comment lire le Coran pour ceux qui se sont tournés vers l’Islam ? Afin de trouver les détails nécessaires y afférant, suivez-nous de près dans notre petite enquête.
Le Coran : un texte divisé
Le Coran est composé de 114 sourates et il est préférable de ne pas changer ce mot particulier en « chapitres ». Il représente un genre de division textuelle qui n’englobe pas une unité thématique. Et ce, sauf pour certaines brèves sourates qui se trouvent à la fin du volume et 2 sourates d’une longueur plus importante. Il s’agit de la 12 dite de Joseph (Yousouf) et de la 55 Le Miséricordieux. L’intitulé d’une sourate ne parle pas généralement de son sujet, mais de certains versets qu’elle constitue. Deux types de sourates sont concernés :
- La sourate 19 ;
- La sourate 5.
La sourate 19 avec le titre Marie (Mariam) se compose de 98 versets. Et ce sont uniquement les versets 16 à 36 qui parlent du personnage. Concernant la sourate 5 avec comme titre La Table est constituée de 120 versets. Ce sont seulement les versets 112 à 115 qui dévoilent le miracle d’une table provenant du ciel pour les apôtres de Jésus.
D’où provient le texte
De quelle manière le tout s’est-il composé ? Il est impossible de se ranger du côté dogmatique qui parle d’un ouvrage inimitable et incréé « descendu » sur un prophète. Il s’agit d’un pur réceptacle passif de la révélation divine. C’est difficile d’avoir recours à des témoignages extérieurs aux sources musulmanes. Et ce, pour la livraison d’informations sur la zone de production du texte. Cela n’existe pas. La recherche critique sur l’historique du texte s’est ainsi orientée vers l’analyse littéraire du Coran lui-même. Cette méthode permet de trouver les couches rédactionnelles. La recherche est également dirigée vers une tradition adjacente. Celle-ci dispose de diverses versions, des fois inconciliables, de l’enregistrement par écrit du message prophétique. Différentes informations fournies par cette tradition mentionnent des scribes du Prophète. Ceux-ci écrivaient sous son injonction les révélations divines qu’il obtenait. Quelques-uns des disciples du Prophète, baptisés en arabe « Compagnons », font en sorte de s’en souvenir.
Les illusions du modernisme
Selon certains avis, il faut juste se libérer d’une lecture littérale du Coran pour donner le champ libre à diverses interprétations. À travers cette technique, il ne reste plus qu’à aller vers le modernisme via l’expression individuelle qu’elle autorise. Il faut toutefois noter que le texte fondateur d’une communauté religieuse ne s’irrite pas si facilement. Et ce, en étant considéré comme sujet de foi, une lecture ouverte et libre telle que tout ouvrage littéraire. Cette dernière opinion ne peut s’ajouter qu’à la narration des religions. Celle-ci a vu le jour dans un contexte d’affranchissement intellectuel méthodique envers toute croyance négativiste. D’autres informations sur le Coran peuvent être consultées, comme sur ce site internet. Le Coran évoque l’unicité divine, la proclamation du Jugement dernier, de la résurrection des morts, du Paradis et de l’Enfer. La perspective spécifique, concernant les religions monothéistes, veut annoncer aux chrétiens cette unicité. Celle-ci ne s’allie à aucune médiation, à aucune association et il existe une grande séparation entre l’humain et le divin.